mercredi 26 octobre 2016

Viennoiserie et politique

Le politique et les viennoiseries , c'est une longue histoire d'amour.
Fabius déjà, se pointait en charentaises chez le boulanger pour acheter ses croissants quand il était "le premier ministre de la Fraaance".


Ensuite, il a arrêté. Le goût du croissant lui a passé.

Après ça, Copé a dénoncé vertement les diktats du Ramadan à coup de pains au chocolat.
Ça démarrait bien, l'intention y était et patatras! Tout le monde s'est marré. Tarik Ramadan et sa clique, tout contents de tenir un nouvel os à ronger sont retournés vaquer à leurs affaires louches en se frottant les mains. Copé allait morfler!


Et comme ça ne suffisait pas, le voilà qui remet ça avec son pain au chocolat. Il faut admettre que c'est l'argument politique imparable. La chômage? Les migrants? Hollande qui dégoise?
Pain au chocolat.
Tout le monde le croyait maître du sujet. Grosse déconvenue: il n'y connaît rien et nous le vend à 15 centimes!
Reste à ressortir les charentaises. Les boulangers n'attendent plus que lui.
Fabius au moins, avait su convaincre qu'il était un homme du peuple.



Heureusement que notre bon président sait relever le niveau de la politique française et connaît son affaire.

 
Nous voilà rassurés.




15 commentaires:

  1. Est-ce que la valse est à ranger au rayon des viennoiseries?
    Bzzz...

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  2. L'histoire du pain au chocolat de Copé, il l'a probablement inventée. Mais probablement pas de toute pièce car elle est loin d'être improbable. Simplement, comme à chaque fois que nos "élites" veulent Faire peuple, ça sonne faux. Et comme rien n'est plus mal perçu en France que ce genre d'imposture, le propos est discrédité. Et il en remet une couche, le bougre, pour bien nous faire comprendre -bien malgré lui- qu'on ne vit pas dans le même monde. Dommage, car sur le fond il a raison.
    Moi je préfère les croissants, et la symbolique de résistance qui lui est liée.

    Alfred

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    1. "...les croissants... qui lui est liée...". Oups!!!
      Désolé, pas bien réveillé l'Alfred. Je devrais me relire.
      Alfred

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    2. C'est vrai qu'elle est belle, l'histoire des croissants. Mais je préfère la façon de faire à la française, sans ajout excessif de sucre.
      Cela étant, Copé a clairement raté son coup. Comme NKM avec le métro ou d'autres. Il serait pourtant simple de s'abstenir de vouloir faire comme si. Mais non, ça les chatouille.

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  3. les journalistes s'amusent, ils en font un sport de les interroger, n'importe lequel se plante sur les prix de la vie de tous les jours, c'est pas nouveau ! et comme ils sont tellement bêtes et imbus de leurs petites personnes, au lieu d'avoir l'intelligence d'éluder avec humour, ils cherchent à répondre , enfin, ça amuse le petit landerneau,

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    1. Il faudrait interroger les journalistes et leur demander ce que signifie l'indépendance de la presse lorsque l'on est vendu, subventionné, de mauvaise fois et j'en passe. Je parie qu'un bon 80% se planteraient comme le père Copé et ses pains au chocolat.

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    2. Boutfil, en effet, il suffirait de répondre par une blague (une bonne, tout de même), tout le monde trouverait le type de mauvaise foi, mais on rigolerait et ça passerait. Seulement les politiques sont sélectionnés à coup de maths et de sciences économiques. Terminées la rhétorique, la culture et le sens de la répartie! Ça, c'était pour les anciens. Ils étaient aussi salauds que les autres, mais au moins, ils savaient causer.
      Vlad, comme ce sont les journalistes qui interrogent,je crains que ce genre de question passe à la trappe. Quant au prix des petits pains, je pense qu'ils savent, si. Ils adorent bouffer.

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  4. Ils auraient mieux fait de lui demander le prix des aliments de première nécessité.

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    1. Là Nadezda, je suis d'accord avec lecanasson, si nos respectés dirigeants sont infoutus de connaître le prix d'une bricole aussi élémentaire qu'un pain au chocolat, je crains qu'ils sèchent encore pire pour le lait ou le pain. Quant à la sljivo, alors là, je n'imagine même pas le carnage.

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  5. Ah le pauvre Copé, il doit pas en manger tous les jours des pains au chocolat ;o)))

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  6. La Viennoiserie tire son origine des pâtisseries liées au siège perdu par les Turcs en 1683. La Croix au dessus du Croissant maho, comme après la prise de Kazan en 1552.

    Nos politiciens collalhabos doivent probablement préférer les loukoums. Et pas ceux faits à Paracin...

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    1. Oui Tchetnik, c'est une belle histoire que celle de ces croissants. Je ne connaissais pas celle de la prise de Kazan.
      Quant à nos politiciens, je préfère ne pas connaître leurs préférences...

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